Ne voyez pa ici des fote d'ortograf, j'ai sinpleman décidé de passer outr a dé convention francaise sans intéret. Mon seul propo est k'en me lisan, vou me konpreniez parfaiteman é sans ambiguité.
Imaginez ke tou le mond, sof les san-joi, fass com moi un pié de né a nos académicien, ke les journalist é les écrivin s'i mett ossi, ne croyez vou pa k'o bou d'un certin tan, de sinplificassion en sinplificassion, on en arriv a un nouvo standar de fait, simpl com j'en rèv.
Le résulta ke vous avez sou les yeux est un peu provokan, mais ne pensez vou pas k'on pourrait remplacé le QU par K, les terminaison par kelchose ki ressembl à ce k'on entendrait en le lisan à voi haute. A-t-on vraiment besoin des E muets, des pluriel, des traits d'union, des C cédille, tou le mond ne sait il pa fair la diférenc entr un infinitif et un particip passé?
Alors, gardons-là cette langue française, gardons toutes les langues puisqu'elles sont l'expression des peuples.
Ke cela va me conduir tou droi a une lang intelligente, cohérente et simpl, mai ki permet aussi tou les mode de pensé et qui s'appelle l'Espéranto.
Malheureusement, je crains que cette ouverture entre tous les peuples de la planète ne soit accueillie comme vous avez pu accueillir ce qui précède, par un sourire amusé, ou pire par un haussement d'épaule condescendant, vous qui savez très bien que dans peu d'années nous parlerons tous, ou du moins nos enfants, avec l'accent américain...!
Ertia
"Je m’en vais m’en aller", drôle de locution ! Est-elle académique ?
"Au jour d'aujourd'hui" n'est pas académique mais pourrait-on
académiquement dire que c’est une tout autre histoire que ce jour
d’aujourd’hui soit un jour de fête ?
Mais je ne m'en irai jamais assez vite, à vélo du moins, à
quatre-vingt-quatre kilomètres à l’heure pour atteindre les confins de
l’univers visibles qui sont à au moins à quatre cents quatre-vingts
mille milliards de milliards de kilomètres de notre bonne vieille
terre. Comme disait l’autre, on n’a jamais été aussi prêt à interdire
ou aussi près de dire qu’il ne peut y avoir un confin, car il doit y en
avoir au moins deux, orthographiquement, pour faire une
universalité ayant l’air fictif. Toute autre métaphysique serait une
tout autre réflexion.