Site à l’ancienne,

anti-facebook, twitter, tik-tok

Un lien vers mon adresse courriel, parce que le courriel, premier né des réseaux sociaux, est bien plus adapté à des échanges de qualité que les réseaux à la mode qui privilégient l’inconsistant et l’immédiat.

Les pages html sont passives (aucun bouton ou formulaire), un temps réalisées avec Dreamweaver et ses successeurs sont aujourd’hui réalisées et mises à jour avec Libre-Office, presque Wyswyg, facile, mais qui réserve quelques surprises de compatibilité, rien de grave tant qu’il ne s’agit pas d’agiter des fonctions modernes surtout utilisées par les sites marchands.

Les documents en lien sont en .pdf, même si cela est mauvais pour le référencement.

Créé en 2007, environ 20 000 clics de 2013 à 2023. Ce n’est pas beaucoup !

Je dois être sur une autre planète. En tous cas, les lecteurs potentiels ne se bousculent pas. Et pourtant, je prends beaucoup de plaisir à me relire. « Tiens, c’est moi qui ait écris ceci ou cela ! »

Le roman de science-fiction « Le petit barreau... » est d’actualité. Il pose la question d’une possible conscience artificielle.

Les essais autour de la métaphysique donnent un point de vue intéressant sur l’obligation de cohérence du monde, et sur une approche délaissée de la façon dont peut se fabriquer la conscience.

Les réflexions politiques devraient intéresser tous les citoyens (oou ceux qui s’estiment l’être) et en particulier les commis de l’État, souvent noyés dans l’incurie systémique.

Les propositions d’inventions devraient intéresser beaucoup d’industries. En particulier, le projet de convois de wagons autonomes, une évolution technologique forte pour sauver le rail et diminuer la pollution routière.

En particulier, on s’étonne que les caméras panoramiques n’intéressent personne et que les drones volants ne révolutionnent pas l’aviation traditionnelle.